À LA RECHERCHE DES PÉPITES DU ROCHER

La tâche qui attendait Juan, en tant que sélectionneur de l’équipe espoir de Gibraltar, était aussi exaltante que délicate. Son regard pétillait d’enthousiasme alors qu’il se lançait dans la quête de dénicher les futurs talents cachés au cœur des onze clubs du pays.

Son parcours débuta au cœur des clubs, et tout naturellement, Juan commença ses observations dans le club de Yanito, le College 1975.
Juan observait chaque joueur avec une attention particulière et voyait le terreau fertile où pouvaient germer les talentueuses pousses du football gibraltarien.

Autour de tables de café et sur les bancs d’entraînement, Juan discutait avec les éducateurs, cherchant à percer les secrets des jeunes joueurs. Il voulait comprendre leurs nuances, leurs forces, et leurs faiblesses.

Il voulait que les jeunes joueurs se sentent soutenus, peu importe le club auquel ils appartenaient.

Pour aller au-delà des apparences, Juan organisa des séances d’évaluation spéciales. Les jeunes talents étaient conviés à dévoiler leurs compétences techniques, tactiques, et physiques. Ces moments intenses lui offraient une fenêtre sur la manière dont ces joueurs réagissaient sur le terrain, comment ils interagissaient en équipe.

Loin des terrains, Juan ne négligea pas l’importance des salles de classe. Il suivait de près les performances scolaires des jeunes joueurs, car il croyait en un équilibre harmonieux entre l’éducation et le football. La discipline et la détermination démontrées en dehors du terrain étaient aussi cruciales que les prouesses réalisées dessus.

Des entretiens individuels, véritables plongées dans l’intimité des joueurs, permirent à Juan de connaître les personnalités qui se cachaient derrière les maillots. Il voulait comprendre leurs motivations, leurs rêves, et leur engagement envers le football.

Au-delà du talent brut, Juan cherchait des jeunes prêts à embrasser l’héritage du football militaire laisser par Brah Le Tare.

Dans un petit carnet, Juan notait un maximum d’information. Il sélectionna 3 jeunes de chaque club comme étant des pépites potentiels.

Chaque moment était une pièce ajoutée au puzzle de la constitution de l’équipe espoir. Juan cherchait à bâtir une équipe non seulement compétitive mais également façonnée par l’héritage du passé et prête à écrire une nouvelle page de l’histoire du football à Gibraltar.

Une proposition étonnante

Yanito et Juan continuaient leur quête pour percer les mystères de Brah Le Tare. Le duo entreprit des expéditions nocturnes secrètes pour explorer ces lieux chargés de mystère. Des cavernes oubliées aux hauteurs escarpées du rocher de Gibraltar. Dans une de ces cavernes, gravé dans la roche, des schémas tactiques de notes à priori codées. Le temps avait fait son œuvre et le déchiffrage était complexe. Il fallait revenir avec des éclairages plus puissants pour prendre cette découverte en photo.
Le lendemain de cette découverte, Juan reçut une invitation inattendue à rencontrer le président de la fédération de football de Gibraltar. Intrigué, il se rendit au siège, accompagné de Yanito. Là, ils furent accueillis par des dirigeants passionnés, avides d’en savoir plus sur Brah Le tare, les connaissances de Juan et sur la manière dont celles-ci pouvaient être mises à profit.

Le président, impressionné par cette découverte et connaissant le passé footballistique de Juan puis sa compréhension unique du jeu, lui fit une proposition inédite. « Juan, nous avons suivi de près vos découvertes liées à Brah Le Tare et votre passion pour le football. Nous croyons que votre expérience pourrait être un atout inestimable pour le développement de notre équipe espoir. »

Juan, initialement surpris, écouta attentivement la proposition qui suivit. La Fédération de Football de Gibraltar souhaitait qu’il devienne le sélectionneur de l’équipe espoir, apportant son expertise et sa perspective unique pour inspirer la prochaine génération de joueurs.

« Nous croyons que votre connexion avec Brah Le Tare pourrait être une source d’inspiration pour nos jeunes talents. Vous seriez non seulement le sélectionneur, mais aussi un mentor, transmettant l’héritage du football militaire et contribuant à façonner l’avenir du football à Gibraltar. »

Juan, ému par cette opportunité, regarda Yanito, qui lui adressa un sourire d’encouragement. C’était un tournant dans la quête de Juan, une opportunité de laisser une empreinte durable sur le football de Gibraltar.

Après quelques jours de réflexion, Juan accepta le rôle de sélectionneur de l’équipe espoir. Les médias et la communauté de Gibraltar saluèrent cette décision. Juan était impatient de débuter à travailler avec les jeunes joueurs, pour partager ses connaissances et son enthousiasme, tout en s’appuyant sur les leçons du légendaire Brah Le Tare pour inspirer la nouvelle génération.

Ainsi, Juan entama un nouveau chapitre de sa vie dédié au développement du football à Gibraltar, mettant un temps de côté ses recherches sur Brah Le Tare pou transformer son histoire personnelle en une contribution significative à l’évolution du sport dans le pays.

Une aide inattendue

Yanito, portant son ballon de football comme un précieux trésor, descendit la montagne rocailleuse avec un mélange d’excitation et de réflexion. La gravure dans le rocher pesait sur son esprit, la question de son lien potentiel avec Brah Le Tare résonnant comme un écho.

Lors de l’entraînement suivant avec le College 1975 FC, Yanito rassembla quelques-uns de ses amis. Il partagea avec eux la découverte de l’épitaphe de Brah Le Tare et la possibilité qu’il puisse être l’héritier légitime du fondateur légendaire du football militaire à Gibraltar.

La réaction de ses amis fut un mélange de scepticisme et d’enthousiasme. Certains pensaient que c’était une simple coïncidence, tandis que d’autres étaient intrigués par l’idée que Yanito pourrait être connecté d’une manière ou d’une autre à Brah Le Tare.

Déterminés à en savoir plus, Yanito retourna voir l’épitaphe. Une ombre discrète s’approcha de lui. C’était un homme d’une cinquante d’année du nom de Juan, un passionné d’histoire locale, ancien joueur de football militaire et un ancien membre de la Royal Gibraltar Regiment.

Juan confia à Yanito qu’il avait découvert des fragments d’histoires mystérieuses au sujet de Brah Le Tare dans les archives de la caserne. Intrigué, Yanito écouta attentivement. Juan mentionna des indices laissés par Brah Le Tare sur le territoire du pays qui semblaient indiquer qu’il avait eu des prédictions sur le futur du football à Gibraltar.

Guidés par ces indices énigmatiques, Yanito et Juan décidèrent d’explorer ensemble la légende de Brah Le Tare, à la recherche de réponses. Ils découvrirent des indices laissant entrevoir que Brah Le Tare avait peut-être eu une vision du futur de son sport bien au-delà de son époque.

Ils réalisèrent que la recherche de la vérité sur Brah Le Tare les avait plongés dans un mystère bien plus grand et mystique qu’ils ne l’avaient imaginé.

Pendant ce temps, la population de Gibraltar commençait à ressentir une énergie particulière, comme si quelque chose d’extraordinaire était sur le point de se produire. Des rumeurs circulaient, laissant apparaitre au grand jour la légende de Brah Le Tare. Pas seulement une légende du football militaire et une histoire du passé, mais un récit vivant qui allait influencer l’avenir du football à Gibraltar d’une manière inattendue.

Juan dessin manga

Qui est ce Juan qui souhaite aider Yanito dans sa quête ?

Ici gît, Brah Le Tare

Brah Le Tare, une figure visionnaire de la révolution sportive au XIXe siècle, émergea comme une personnalité emblématique au sein de la British Army.
 
Connu pour ses prouesses athlétiques exceptionnelles, sa maîtrise tactique du jeu et son esprit novateur dans le domaine sportif et surtout footballistique, Brah Le Tare était bien plus qu’un simple membre de l’armée. Il était un pionnier du sport, apportant une énergie nouvelle et passionnée.
 
Au cours d’une mission sur la péninsule ibérique, Brah Le Tare, toujours animé par son amour du football, s’intégra à la Royal Gibraltar Regiment. Là, il fit une découverte extraordinaire. Dans les hauteurs du rocher de Gibraltar : un terrain plat, idéal pour le sport qu’il aimait tant.
 
Avec ses camarades de la Royal Gibraltar Regiment, Brah Le Tare décida de créer une équipe et de développer les règles de ce jeu révolutionnaire. Les premiers matches de football militaire furent joués sur ce terrain historique. Brah Le Tare devint le chef de file de cette nouvelle ère sportive sur ce rocher.
 
Des équipes militaires affluaient de toutes parts pour participer à des compétitions amicales sur ce terrain unique. Le football militaire gagna en popularité parmi les forces armées de la péninsule ibérique et du Royaume-Uni. Cependant, au cours d’un match contre une équipe rivale, quelque chose a mal tourné.
 
Brah Le Tare, au sommet de son art, marqua un but extraordinaire et d’anthologie ; mais juste après, il disparut de manière mystérieuse et inexplicable.
 
L’équipe, profondément attristée par la perte de leur capitaine charismatique et par le mystère qui entourait sa disparition, décida de graver son nom sur le rocher de Gibraltar en guise de mémorial : « Ici gît, Brah Le Tare ».
(écrit en Llanito, la langue usuelle parlée à Gibraltar qui mélange l’espagnol à sonorité andalouse et un fort vocabulaire maltais et hébreu)
 
Le terrain où Brah Le Tare avait découvert sa passion pour le football militaire devint un site sacré mais toutes les traces d’un terrain de football pour les forces armées a été méticuleusement nettoyé puis effacé par le temps qui passe. La légende de Brah Le Tare fut peu à peu perdue et seulement connu des militaire de la Royal Gibraltar Regiment.
 
Cette légende aurait pu rester aux oubliettes. Mais c’est sans compter un jeune randonneur qui y découvrit l’épitaphe gravé dans le rocher.
 
Très curieux et féru d’histoire, le jeune garçon s’arrêta devant cette gravure dans la roche et y découvrit également, quasiment effacé par le temps et recouvert de mousse, l’écrit « membre émérite de la British Army, fondateur légendaire du football militaire sur le territoire britannique de Gibraltar ».
 
Cet adolescent de 15 ans fut d’abord interloqué puis, pris d’une émotion joviale et curieuse, un large sourire pouvait se lire sur son visage.
 
Ce jeune féru d’histoire, qui répond au nom de Yanito, était également un jeune joueur de football ayant récemment intégré le club du College 1975 FC.
 
Il sortie le ballon de football qu’il portait dans son sac, le regarda puis devient tout à coup sérieux et pensif.
 
Yanito descendit ainsi la montagne rocailleuse et décida d’en parler à quelques-uns de ses amis lors du prochain entrainement.
 
Yanito, serait-il l’héritier légitime de Brah Le Tare ?
 
yanito personnage dessin manga

Yanito, l’héritier de Brah Le Tare ?

Correctement configurer sa partie FM

Afin d’apporter du réalisme ou de coller au plus près de la partie de vos rêves, il est important de correctement configurer sa partie.

Dans Football Manager, il est possible de configurer très finement sa base de donnée.

Dans cette vidéo tuto, je vous explique comment faire.

Dans cette vidéo qui provient d’un replay Twitch que j’ai animé, vous aurez également plus d’information sur la création de votre coach.

N’hésitez pas à mettre la lecture en fois 2 pour aller plus vite dans la découverte 😉

C’est quoi Football Manager (FM) ?

Qu’est-ce qui peut nous rendre accro à FM ?
Dans ce cours article, je vais vous expliquer ma vision de FM (pour les intimes) !
Football : sport populaire où l’on regarde 22 bonhommes courir derrière un ballon.
Manager : personne carriériste et s’investit pour sa gloire personnelle.
Football Manager : une drogue dont les shoots statistiques permettent de libérer de la dopamine en gagnant virtuellement des titres.

Mais ce jeu vidéo est bien plus que des statistiques et le fait de regarder des matchs en 3D (ou en 2D pour les puristes).

Plaisir social ou fléau mondial ?

Des stats, des stats et toujours des stats. Voilà comment est vu le jeu par les non-initiés. Trop compliqué pour certains, aucun intérêt pour d’autres car on ne peut pas contrôler les joueurs avec une manette.
Je rappelle ici que c’est un jeu de gestion et non un jeu d’action. On incarne l’entraineur d’un équipe et bien au-delà car le football à de multiple facette et profession.
Et le football justement me direz-vous ?
En 2008, Marc Perelman sortait un livre intitulé « le sport barbare » et y démontait, en autre tous les sports, également le football (lire un article du monde au sujet du livre ici).
Le sport est pourtant rassembleur. Et le football d’autant plus ! Qui ne se souvient pas (ou n’a pas vu à la TV pour les plus jeunes) les lièsses de joie dans les rues lors de la victoire en Coupe du Monde de l’équipe de France en 1998 ? Qui ne suit pas les résultats sportifs le weekend sur son téléphone ? Même juste comme ça, pour s’informer ? Le football est un sujet de conversation, qui n’est pas très intellectuel pour ses détracteurs, mais qui permet aux gens d’échanger.
Je reconnais qu’il existe une mauvaise image de ce sport. Mais celui est véhicule par une poignée d’imbécile. Il y en a partout que voulez-vous. Mais comment ce sport est archi-médiatisé, cela prend des proportions gigantesques !!
Mais revenons à FM.

Bien plus que des stats
Pour ma part, ce jeu me permet de découvrir des cultures et des villes que je ne connaissais pas. D’améliorer ma connaissance en géographie, en démographie et en histoire. J’aime aller voir des vraies images des clubs et de leurs environnements (stade, ville, supporter). Et par dessus tout, j’aime raconter des histoires autour de mes parties. D’incarner un personnage. C’est tellement agréable de s’évader et de retranscrire des idées, des moments de vie, etc.
Et puis si on le souhaite, on peut intégrer des communautés de passionnés qui nous ressemblent, avec qui nous avons des affinités proches et même créer des liens d’amitiés.
Football Manager est un vrai réseau social au sens premier du terme.

Et c’est en ça que j’aime FM. Plus que le jeu en lui même qui évolue peu, c’est sa communauté ❤

C’est un monde que j’avais quitté pendant 10 ans et que j’ai redécouvert avec le crise du covid-19 et les confinements que nous avons vécu. J’avais besoin de retrouver quelque chose qui m’a accompagné durant mon adolescence, de retrouver une part de moi que j’avais mise de côté.